Plein
paradoxe de la complétude avérée, la métaphore de la plaine,
vaste sans pointillé. L'horizon n'est pas, rien n'attend pas, le
hâté, piètre filature, de l'infinitude terminaison indéterminée.
Exclu invariable, s'introduit en intrus, enclin à susciter le
trouble. Pas de mot, point d'homme en ohm, le heaume du chevalier
invisible. Manque à moi-même le sens, l'impalpable dénonciation,
établi coupable de nul. Flottement innocent, inconnu, de tout ce qui
le détermine. J'ai nommé vidé de tout son sens, i-celui cité plus
tôt. De toute évidence déviant l'en définitive. Définition
défiant le fou affirmant le faire en son for intérieur.
Le terrain vague de l'absence, de l'abstinence aléatoire, l'écho moindre des corps silencieux. Je croise des silhouettes alternatives à mouvement concentré. D'aucune s'astreint à l'expérience du rien. Je longe les tunnels souterrains où la pensée a le privilège de pouvoir se perdre. Le vide fait peur, effraie, le trop plein tue. Infrastructures invisibles
Garder
la ligne ou plutôt ne pas la perdre dans le tumulte cartographié
du no man's zone
Le terrain vague de l'absence, de l'abstinence aléatoire, l'écho moindre des corps silencieux. Je croise des silhouettes alternatives à mouvement concentré. D'aucune s'astreint à l'expérience du rien. Je longe les tunnels souterrains où la pensée a le privilège de pouvoir se perdre. Le vide fait peur, effraie, le trop plein tue. Infrastructures invisibles
"En réalité, le vide n'existe jamais si seulement à l’extérieur de la planète". Jean Paradis Le vide n'existe pas